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Quinta-Essentia

© Jean-Luc Meyssonnier

 

 

 

« Quinta-Essentia »

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier

Du 13 novembre 2015 au 12 mars 2016
La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

La Fabrique sera fermée en janvier 2016

Ouverture du mercredi au samedi de 16h à 19h
Vernissage dimanche 22 novembre à partir de 11h

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier, réalisées de décembre 2011 à avril 2015, sur le chantier de l'espace de reconstitution de la grotte Chauvet.

Il y a des choses dans une vie que vous seul verrez, que vous seul entendrez. Si vous ne les racontez pas ou ne les écrivez pas, si vous ne faites pas une photo, ces choses ne seront ni vues ni entendues.

Emmet Gowin

Le chantier de reconstitution de la grotte Chauvet (classée par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité en 2014), ne fut pas seulement un ensemble d'éléments matériels destiné au bâtiment mais une aventure humaine actuelle.

Il a également agi comme révélateur d'un vocabulaire plastique universel, créant inévitablement des connexions avec le monde artistique.

Tout travail de construction mêle des flux oscillants d'énergies à des transformations rapides des lieux. Il est tout à fait adapté à ma volonté de saisir l'impermanence du réel qui s'échappe et reste perdu à jamais, comme un rêve dont on se réveille.

Tel un microcosme éphémère ce grand chantier fut un lieu de rencontres imprévisibles, comme avec cet ouvrier dessinant sur les parois en béton, qui me procura l'étrange sensation d'être hors du temps tellement le geste de l'artiste avait quelque chose d'atemporel. Autre rencontre inattendue, cette petite chatte blanche errante, nourrie par les ouvriers, que j'ai saisie comme un sphinx veillant sur le chantier (nous avons fini par nous adopter mutuellement). Ce sont ces petites choses qui constituent une âme inédite et originale à cette aventure.

Mon désir est de partager les instants particuliers, souvent fugitifs, qui m'ont touchés : ce rai de lumière, cette ombre portée, ce trait rouge fait par la main de l'ouvrier et qui transfigure le contexte. Je savais que tout cela était éphémère, qu'il me fallait capter la sensation perçue. Et c'est au fil de mes errances, lorsque je réussissais à me libérer au mieux des conventions, que j'y parvenais, ayant alors le sentiment d'être au bon endroit, au bon moment, et que l'ordre des choses était parfait.

Ces sensations, ces énergies, ces connexions sont en quelque sorte l'essence invisible du chantier, la Quinta-Essentia.

Le fac-similé de la grotte ornée du pont d'arc, dite grotte Chauvet a été construit sur les hauteurs de Vallon Pont d'Arc. Conception Fabre-Speller architectes – Ateliers 3A Ollier – F.Neau – Scène – SYCPA

 

www.meyssonnier.com
www.fabrique-image.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 


La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie


Atelier d'impression numérique :

retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.

la Fabrique de l'image - 2 rue de l'oratoire - 07400 Meysse - tel : 0981204688 mobil : 0663251795


WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR


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Présence(s) Photographie #2

 

 

 

« Présence(s) Photographie #2 »

Invités d'honneurs Sabrina et Roland Michaud, Munem Wassif

Du 13 au 29 novembre 2015

Toutes les expositions sont gratuites.
Vernissage le 13 novembre à partir de 18h30 à l'Espace d'Art Chabrillan - Montélimar

L'ÉDITION 2015 se déroulera du 13 au 29 novembre. Nous accueillons en exposition principale à la chapelle Chabrillan 3 invités d'honneur : Roland et Sabrina MICHAUD (France), et Munem WASIF (Bangladesh). Et, dans plus de 15 lieux partenaires, 33 photographes émergents. Les œuvres traitent pour la plupart – conformément à l'esprit du festival – de l'homme dans son environnement. La conférence-débat du 14 novembre aura pour thème : Photographie d'auteur, voyage et humanisme. Le plus de cette édition : le catalogue des expositions.

À travers cette manifestation conviviale, notre ambition est de faire vivre, sur notre territoire, une photographie d'auteur empreinte d'humanisme, de professionnalisme et de qualité. Surtout, nous voulons offrir au public et aux photographes une occasion de rencontre avec les grands noms de la photographie, et une visibilité aux jeunes talents.

 

www.presences-photographie.fr
Programme

 

 

 

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Photographies de Roland & Sabrina Michaud

© Roland & Sabrina Michaud

 

 

 

« Photographies de Roland & Sabrina Michaud »

Du 13 au 29 novembre 2015
CENTRE D'ART ESPACE CHAbRILLAN
Ancienne Chapelle Chabrillan
127, rue Pierre Julien

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage 13 nov 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Depuis presque 60 ans, Roland et Sabrina MICHAUD poursuivent leur quête et, par leur photographies nous donnent à partager la quintessence de leur expérience hors normes. Ils sont de ces photographes qui ont inspiré des générations de voyageurs, et ouvert une nouvelle voie dans l'art photographique. Passeurs de beauté, et portraitistes : ils aiment à définir leur

« regard » comme porteur de valeurs universelles, leurs images comme « archétypes », dans le meilleur sens du mot, de ce qu'est un berger, un moine, un cavalier...

Ils se font connaître dans les années 60 par leurs photographies d'Afghanistan - parcouru pendant 14 ans, de 1964 à 1978 - nous faisant découvrir l'intimité de chacune des ethnies de ce peuple libre et fier, et la vie des femmes ; entre autres, par un reportage sur les caravanes de chameaux qui franchissent, l'hiver, le Pamir afghan, en empruntant des rivières gelées... Puis ce sera la Mongolie, la Corée, la Chine, et l'Inde qui est au cœur de leur quête, et qu'ils continuent à photographier. Leur regard exprime la pérennité des qualités humaines et spirituelles dont nous avons tous besoin pour vivre mieux.

 

www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Larmes salées

© Munem Wasif

 

 

 

« Larmes salées »

Photographies de Munem Wasif

Du 13 au 29 novembre 2015
CENTRE D'ART ESPACE CHAbRILLAN
Ancienne Chapelle Chabrillan
127, rue Pierre Julien

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage 13 nov 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

À la rencontre de la communauté Satkhira, Munem WASIF dénonce les conséquences du réchauffement climatique, et tout particulièrement l'élevage intensif de la crevette, favorisé par le gouvernement, qui a provoqué la salinité croissante de l'eau et une catastrophe pour 6 millions de personnes privées d'eau potable. Un témoignage puissant où la beauté de l'image est au service de la vérité et de l'empathie pour les hommes et les femmes saisis dans leur vie quotidienne.

Un livre photographique Larmes salées complète l'exposition et lui donne son caractère universel grâce à la préface de Pavel Partha, célèbre chercheur en écologie et en biodiversité au Bangladesh.

Membre de l'agence VU, Munem WASIF vit et travaille au Bangladesh.

Il ne se défend pas d'être un conteur de traditions humanistes, classique dans son approche photographique, tant qu'il peut transmettre son expérience émotionnelle entretenue avec le sujet.

 

www.munemwasif.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Portfolios des photographes

© Julien Bernard

 

 

 

PORTFOLIOS DES PHOTOGRAPHES

SOIRÉE PROJECTION LE 15 NOV À 21:00 LE 28 NOV À 13:00 ENTRÉE GRATUITE
CINÉMA D'ART ET D'ESSAI
LES TEMPLIERS
26200 Montélimar

Les photographes en projection :

Alain Breyer, Amaral-Barthes, AnnaPuig Rosado, Annie Sorrel, Brice Bourdet, Céline Ravier, Daniel Michelon, David Rousselle, Emmanuel Dubost, Eric Monvoisin, Fabrice Leroux, Géraldine Sivilia, Joel Cubas, Jonas Mercier, Joséphine Parenthou, Julien Benard, Lucas Dragone, Lucian Muntean, Magali Cohen, Andreas Kern, Nicolas Ferras, Philippe Masson, Pierre Montant, Sébastien Michaud, Stéphane Baré, Stéphane MinhVu, lvain Heraud, Collectif l'œil de terre, Thibaut Ketterer &Thierry Baumgarten

PHOTOGRAPHIE ET CINÉMA

LIFE

DI 15 nov 18:00 / LU 16 nov 20:30 / MA 17 nov 18:00

LE BOUTON DE NACRE

ME 25 nov 18:30 / SA 28 nov 15:00 / DI 29 nov 18:30 / LU 30 nov 20:30

HUMAN

DI 15 nov 14:00 (durée 3h17)

PLUS FORT QUE LES BOMBES

ME 18 nov 20:30VE 20 nov 18:00 / SA 21 nov 16:00 / DI 22 nov 14:00 / LU 23 nov 20:30

 

www.lestempliers.cine.allocine.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Natures mortes

© Joel Cuba

 

 

 

« Natures mortes »

Photographies de Joel Cuba

Du 13 au 29 novembre 2015
Restaurant L'AUBERG'IN
3 rue des Taules
26200 Montélimar
06 85 42 60 78

LU MA ME JE VE SA 09:00 - 12:00 + 14:00-15:00
Vernissage 16 nov à 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Dans cette série, les végétaux s'amusent à nous faire perdre nos repères.

Manipulés, triturés, ils expriment une autre réalité, parallèle, à la frontière du rêve.

Exposition dans le cadre du Festival Présences Photographie

 

www.laubergin-montelimar.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Voyage(s)

© Francis Traunig

 

 

 

« Voyage(s) »

Photographies de Francis Traunig

Du 13 au 29 novembre 2015
THÉATRE MUNICIPAL
1 Place du Théâtre
26200 Montélimar

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage samedi 21 novembre à 11h

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

«À la photographie, toujours je préfère le voyage, et c'est avec nonchalance que je bourre mon sac de matériel de prise de vue - sac qui d'ailleurs ne ressemble en rien à un sac de photographe - et le voilà trop lourd, moi qui me voulait léger, ne pas être encombré, ne pas ressembler à un touriste trop vite, pour mieux me fondre dans ce qui va d'abord devoir nourrir mon regard.

Fausse pudeur et foutaises, bien sûr. Tout ça sera bien vite surmonté, et débouleront les regrets de ne pas avoir pris le trépied, et de manquer, nom d'un chien, d'un objectif un peu plus lumineux.

Car quelle plus terrible frustration pour un photographe, en route, d'imaginer avoir raté le cliché de sa vie ?

Et si le voyage révèle, on peut en dire autant de la photographie. Et me voilà immergé dans un bain de lumière tellement vaste pour mon si petit capteur. Comme si devant la mosaïque du monde je n'en devais photographier qu'une :

celle qui cravacherait l'imagination et pourrait révéler le reste du tableau».

 

www.traunig.ch
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

© Rob Ramser

2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

© Paul Veysseyre

 

 

 

« 2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde »

Photographies de Rob Ramser et Paul Veysseyre

Du 13 au 29 novembre 2015
GALERIE JEAN-LOUIS AMICE
15 Bd Meynot
26200 Montélimar
04 75 51 12 13

LU MA ME JE VE SA DI 14:00-18:00
DI 9:00-12:00
Vernissage 14 nov 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Wabi-sabi, l'usure du temps

«Wabi-sabi est l'art japonais de trouver la beauté dans l'imperfection et la profondeur dans la nature, l'acceptation du cycle naturel de la croissance, du déclin et de la mort. Un art qui vénère la simplicité, la lenteur et, par dessus tout, l'authenticité.» Tadao Ando.

Appliqué au medium photographique, ce concept m'a inspiré des images qui expriment ce que les technologies modernes ne sont pas. Face aux millions d'images du quotidien, j'ai éprouvé le besoin de retrouver le grain aléatoire du film argentique, la lenteur et le rendu de l'appareil moyen format. Figeant un instant dans le flot du temps qui passe, les images-objets évoquant le style poétique des haiku.

Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

Depuis une quarantaine d'années le photographe lyonnais Paul Veysseyre poursuit son exploration photographique de la Turquie, avec une prédilection particulière pour les gens les plus humbles, les architectures populaires et les modes de vie traditionnels.

Après Istanbul, seuil de la félicité, il publie le livre Anatoliques d'où sont extraites les photos de cette exposition.

Combiner volonté documentariste (plus de 8000 négatifs noir et blanc) et souci esthétique, essayer de représenter ce pays dans toute sa diversité et de transmettre l'atmosphère bien spécifique des villages anatoliens : le choix s'est révélé particulièrement difficile et frustrant pour le photographe...

 

www.robert.ramser.pagesperso-orange.fr
www.jeanlouisamice.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

© Céline Ravier

 

2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« 2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein. »

Photographies d'Anna Puig Rosado et Céline Ravier

Du 13 au 29 novembre
Galerie craft
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit
04 26 51 55 85

JE VE SA DI LU 10:30 - 12:30 + 16:00 - 19:00
Vernissage 15 nov à 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

ESCAPE

À Tel Aviv, dans les vieux quartiers où vivent les communautés russes, yéménites et africaines, les murs et les espaces vocifèrent et questionnent cette identité israélienne décousue.

La ville est tournée vers la mer, la seule frontière impartiale, le seul chemin de fuite, mais aucun bateau n'apparaît jamais.

De retour, en regardant mes images, un mot semblait apparaître, «Escape».

Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

ETHIOPIE. Dans la province montagneuse du Balé se tient depuis des siècles le plus important pèlerinage musulman de toute la corne d'Afrique. Venant d'Ethiopie, de Somalie ou d'Érythrée, des dizaines de milliers de pèlerins, trop pauvres pour effectuer le pèlerinage vers la Mecque, convergent vers le minuscule mausolée de Sheikh Hussein, grande figure de l'introduction de l'islam dans les immenses territoires Oromo. Autour du tombeau de ce saint vénéré pour ses miracles, à la croisée de l'islam et des croyances africaines, le petit village perdu d'Annajina devient alors un haut lieu de foi, rassemblant manifestations et rites propres à chaque appartenance tribale...

 

www.annapuigrosado.net
www.celineravier.com
www.craftespace.com

 

 

 

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Amish, un monde décalé

© Marta Rossignol

 

 

 

« Amish, un monde décalé »

Photographies de Marta Rossignol

Du 13 au 29 novembre 2015
GALERIE LE QUAI
17 Bd du Fust
26200 Montélimar
04 75 51 23 13

LU MA ME JE VE SA DI 14:30-19:30
Vernissage 14 nov à 19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

La communauté Amish renvoie l'image d'un monde figé dans la rusticité d'un passé oublié. Elle fait la joie des touristes aux berlines rutilantes qui roulent au rythme des «buggies». Un musée à ciel ouvert, un Disneyland de la «petite maison dans la prairie». Pourtant ces hommes et ces femmes restent imperturbables face aux sirènes de la société matérialiste boursouflée qui bourdonne autour d'eux.

Droits dans leurs bottes de labour et fidèles à leur pensée religieuse, les Amish persistent dans la simplicité et la sobriété. Cette obstination est vite attachante, il suffit de s'attarder sur leur mode de vie et leur fierté «d'hommes» simples et libres pour être séduit et marqué à tout jamais... Avec cette perpétuelle question :

Et si ils avaient raison ?

 

www.martarossignol.com
www.lequaideco.overblog.com

 

 

 

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Rajasthan, les porteuses de vie

© Annie Sorrel

 

 

 

« Rajasthan, les porteuses de vie »

Photographies d'Annie Sorrel

Du 13 au 29 novembre 2015
nougat arnaud soubeyran
Avenue du Gournier Zone commer. sud
26200 Montélimar

LU MA ME JE VE SA 09:00-19:00
DI 10:00-12:00 + 14:30-18:00
Vernissage 21 nov 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Au Rajasthan, Etat de l'Inde resté très traditionnel, à la campagne, les femmes portent !

Elles portent l'eau, le bois, le fourrage, les bassines, les offrandes au temple, les enfants... Elles, les porteuses de vie, femmes fascinantes au port de reine, qui se redressent sous le fardeau, gracieuses dans leurs gestes, leurs voiles, leurs bijoux.

Plus encore elles portent le poids des traditions, des inégalités, mais elles avancent à leur rythme, s'éduquent, progressent...

Cette exposition se veut une évocation de leur quotidien, à la croisée de leur regard, au partage de leurs sourires, un hommage à leur beauté, leur courage, leur dignité et leur merveilleux sens de la vie !

 

www.nougatsoubeyran.com

 

 

 

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Le monde n'est pas loin

© Bernard Coste

 

 

 

« Le monde n'est pas loin »

Photographies de Bernard Coste et Tristan Zilberman

Du 13 au 29 novembre 2015
Studio l'oeil écoute
2 montée Bouton d'or
26200 Montélimar

LU MA JE VE SA
10:00-12:00 + 14:00-19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Le monde n'est pas loin

En ce monde nous marchons
Sur le toit de l'enfer
Et regardons les fleurs.

C'est comme si Bernard Coste et Tristan Zilberman, chacun avec sa sensibilité et son style, abordaient le monde avec au coeur ce haïku d'Issa. Et peut-être aussi cette question essentielle que pose Philippe Jacottet : est-ce que les fleurs «parlent plus haut que l'enfer » ; ou parlent-elles « de ce qui pourrait l'emporter à la fois sur elles et sur lui » ?

Leur travail puise aux contradictions de ce monde, en lisière du grave et du beau, de l'équilibre et de la rupture, du désespoir et de l'espérance. Leurs photographies nous proposent de porter sur l'homme et le monde un regard positif, néanmoins conscient des précipices et des impasses de la photographie de voyage, un regard jamais exempt de notre responsabilité de faiseurs d'images.

Marie Meulien

 

www.tristanzilberman.com
www.oeil-ecoute.com

 

 

 

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3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Collectif Oeil de Terres

3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Luncian Muntean

3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Jonas Mercier

 

 

 

« 3 Expositions : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes »

Photographies du collectif Oeil de Terres / Luncian Muntean / Jonas Mercier

DU 13 AU 29 novembre 2015
CHATEAU DE VERCHAÜS
2823 RD 86
07220 Viviers

DE 10 À 18 H
Vernissage le 20 novembre à 18h30 au château de Verchaüs

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Regards sur le Rhône

Pascal Préti, Henri Pol, Franck Nies et Zarn du collectif de photographes OEIL DE TERRES, exposent dans le cadre du festival de photographie "Présence(s)" à Montélimar leur travail "REGARDS SUR LE RHÔNE".

12 diptyques grands formats, mettent en scène le fleuve Rhône et le regard de riverains.

Asta E viata

Rogojel est un petit village isolé des Monts Apuseni, à l'ouest de la Roumanie. Là-bas, les traditions paysannes ancestrales, tout comme les propriétés, n'ont pas été affectées par le communisme du fait des difficultés d'accès et du relief montagneux. Du coup, le travail au champ, l'élevage, les foins, le sacrifice du porc etc, sont des scènes de vie ordinaire pour ces villageois. Les clichés présentés sont un documentaire photographique sur cette vie rurale roumaine qui tend à disparaître dans le contexte global de la mondialisation. Car aujourd'hui, l'ouverture des frontières pousse toujours plus les jeunes à choisir le chemin de l'exil.

Les derniers artisans des trains communistes

Comme leurs machines, les cheminots du dépôt ferroviaire de Chitila, près de Bucarest, en Roumanie, n'ont pas changé depuis la chute du communisme. Ils auraient bien voulu suivre le reste de la société dans l'ère des nouvelles technologies. Mais ils n'y sont pas parvenus. Aujourd'hui plus personne ne soupçonne leur existence, ni les conditions dans lesquelles ils travaillent. Oubliés de leurs concitoyens, ils sont devenus partie intégrante d'un patrimoine industriel que l'on veut voir disparaître pour tourner la page de la dictature. Et ils s'effondreront avec lui.

 

www.oeil-de-terres.com
www.lucianmuntean.ro
www.chateaudeverchaus.com

 

 

 

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Dans la tête de Dany Jung

© Daniel Michelon

 

 

 

« Dans la tête de Dany Jung »

Photographies de Daniel Michelon

Du 1er au 30 novembre
cinéma le regain
3 chemin du Château
07400 Le Teil

ME 14:00-18:00 / VE SA 16:00-00:30 / DI 16:00-20:30
Vernissage 21 nov 19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Un sculpteur, un artiste de Cirque, un photographe... Une rencontre.

Les évolutions de l'acrobate monocycle Benoit Charpe inspire le sculpteur Dany Jung. Il observe, dessine sur le vif, reprend le dessin à sa table de travail, modèle la terre dans son atelier. Il imagine, cherche le point de (dés)équilibre, la courbe idéale.

L'objectif de Daniel Michelon vous fait pénétrer ... « dans la tête de Dany Jung ».

 

www.danielmichelon.com
www.cinema-leteil.fr

 

 

 

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Escape

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« Escape »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 13 au 29 novembre 2015
Au Bonheur du jour
14 Place du Temple
26200 Montélimar
04 75 54 71 77

Vernissage 23 nov à 18:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

À Tel Aviv, dans les vieux quartiers où vivent les communautés russes, yéménites et africaines, les murs et les espaces vocifèrent et questionnent cette identité israélienne décousue.

La ville est tournée vers la mer, la seule frontière impartiale, le seul chemin de fuite, mais aucun bateau n'apparaît jamais.

De retour, en regardant mes images, un mot semblait apparaître, «Escape».

 

www.annapuigrosado.net

 

 

 

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Quinta-Essentia, les rêves retrouvés

© Jean-Luc Meyssonnier

 

 

 

« Quinta-Essentia, les rêves retrouvés »

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier

Du 13 au 29 novembre
Hôtel Du parc
27 Av Ch. De Gaulle
26200 Montélimar
04 75 01 00 73

LU MA ME JE VE SA DI 10:00-23:00
Vernissage 22 nov 16:00

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier, réalisées de décembre 2011 à avril 2015, sur le chantier de l'espace de reconstitution de la grotte Chauvet (classée par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité en 2014).

??Il y a des choses dans une vie que vous seul verrez, que vous seul entendrez. Si vous ne les racontez pas ou ne les écrivez pas, si vous ne faites pas une photo, ces choses ne seront ni vues ni entendues.'' Emmet Gowin

Le fac-similé de la grotte ornée du pont d'arc, dite grotte Chauvet a été construit sur les hauteurs de Vallon Pont d'Arc. Conception Fabre-Speller architectes - Ateliers 3A Ollier - F. Neau - Scène - SYCPA.

 

www.meyssonnier.com
www.hotelduparc-montelimar.com

 

 

 

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Paysages refuges

série "Paysages refuges" © Stéphanie Lehu

 

 

 

« Paysages refuges »

Photographies de Stéphanie Lehu

Du 30 octobre au 29 novembre 2015
Maison de la Tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie

Du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Vernissage le vendredi 30 octobre à 18h30

(Restitution d'une résidence au Cube)

L'exposition entremêle les différents temps de la résidence où une large part a été consacrée à l'exploration de pratiques photographiques dites « pauvres » : le sténopé, renvoyant aux origines de la photographie, et le Polaroïd. Les images imparfaites qui en résultent, rappellent une intériorité onirique, ne laissant subsister que les traits essentiels.

Etre dans le paysage, c'est en faire l'expérience. Etre ébloui, sentir le vent caresser sa peau, être dissipé par un son inattendu. C'est aussi en capter les impressions changeantes et les frémissements. Car le paysage est vivant, toujours en mouvement. Et ces vibrations imperceptibles, la photographie ne peut jamais pleinement les saisir.

 

www.stephanielehu.com
www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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Parenthèses d'Humanité

© Zacharie Gaudrillot-Roy

 

 

 

« Parenthèses d'Humanité »

Photographies du Collectif Parallèle, invité sur la 80eme édition de la Fête de l'Humanité.

Du 5 au 30 novembre 2015 Vernissage mercredi 4 novembre à 18 heures
Fédération du Rhône du Parti Communiste Français
1 cours Albert Thomas
69003 Lyon

Entrée libre

«Parenthèses d'Humanité» est le résultat d'une résidence organisée par la Fédération du Rhône du Parti Communiste Français pour les 80ans de la fête de l'Humanité à la Courneuve.

Nous étions tous curieux de ce que pouvait être un évènement à la fois politique et musical, un rassemblement proposé par un journal, étroitement lié à un parti, une fête populaire, un paradoxe de fréquentation, un immense festival, et une tradition de plus de 80 ans désormais ; et c'est sous la forme d'une résidence que nous avons découvert la fête de l'Humanité.

Une première pour nous, et une première pour nos hôtes , la fédération du partie communiste Rhône-Alpes qui nous a accueilli plusieurs jours pour partager cette expérience; de la construction d'une véritable petite ville dans le parc de la Courneuve, aux rencontres inattendues et au partage des idées, à l'enthousiasme et à la boue, au bruit et à la foule, aux croisements des cultures, entre débats, musique, manèges, livres, tracts et nourriture à emporter ou à consommer sur place... dans ses rues provisoires aux noms illustres, nous avions cette parenthèse 6 jours pour naviguer entre plusieurs mondes, chercher à en définir les porosités, rendre visuellement un ensemble complexe, à la fois grave et léger, comme un funambule sur le fil d'une conversation.

 

www.collectifparallele.fr

 

 

 

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Céret

© Géraldine Lay

 

 

 

« Céret »

Photographies de Géraldine Lay

Exposition du 17 au 29 novembre 2015
La Capelleta
Angle de la rue Pierre Rameil et de l'avenue Michel Aribaud
66400 Céret

vernissage le samedi 21 novembre 2015 à 11 h
Conférence de l'artiste le même jour, le samedi 21 novembre 2015 à 14 h 30
à l'auditorium du Musée d'Art Moderne de Céret

Lumière d'Encre à la joie de vous inviter à l'exposition de fin de résidence de Géraldine Lay.

Mon intention en arrivant à Céret était de mêler photographies de rue et vues intérieures. Je voulais mettre en relation deux manières de photographier la ville : l'une est de photographier dans la rue au gré des rencontres, des scènes vues, des architectures, des lumières ; l'autre est de faire poser des gens chez eux et, de ce fait, mettre un pied dans la fiction.?Lorsque je photographie dans la rue, j'affectionne ces instants où tout semble posé, installé comme sur un plateau de cinéma où comme le dit Jean-Luc Godard, il faut « essayer?de retrouver dans tous ces mouvements de foule le départ de la fiction ». À l'inverse, photographier les gens chez eux, c'est inévitablement leur demander de poser,?les installer, les faire « jouer “. En même temps, il faut réussir à leur rendre leur mouvement intérieur. Mon temps s'est donc partagé entre les longues ballades dans la ville et les visites chez les cérétans. J'ai arpenté les ruelles et les sentiers qui les prolongent, les canaux qui traversent de part en part la ville et irriguent les jardins potagers qui sont partout. J'ai passé beaucoup de temps avec certains habitants, retournant parfois plusieurs fois chez eux pour les photographier. Mais il est difficile de venir avec une intention et qu'elle se mette en place exactement comme vous l'aviez prévue. La réalité des lieux bouleverse vos plans. J'ai donc gardé peu de portraits pris chez les habitants et privilégié les rencontres faites dans ces aller-retours entre intérieur et extérieur. Céret m'est lentement apparue comme un lieu d'une douce étrangeté, parfois frôlant la fantasmagorie, ce que j'ai essayé de retranscrire ici.?

Géraldine Lay, octobre 2015

 

www.geraldinelay.com

 

 

 

 


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